Afin d’améliorer la restitution et la communication de ses statistiques aux différentes directions métiers, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), à travers la Mission Stratégie et Architecture de sa Direction des Systèmes d’Information (DSI), a décidé de se doter d’un outil de visualisation des données : DigDash Enterprise.
Retour sur le déploiement de la solution avec le témoignage de Sandrine Lorenzi, Cheffe de projet « BI » (Informatique décisionnelle) au sein de la Mission Stratégie et Architecture de la DSI du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
Cartographie des demandes de visas, attractivité de la France auprès des étudiants étrangers, gestion du budget de la DSI
« Nous avons déployé DigDash Enterprise pour visualiser les statistiques concernant les visas. Nous avons en effet besoin de surveiller le nombre de visas demandés, accordés et refusés afin de les analyser. Grâce aux restitutions graphiques, nous pouvons consulter la répartition géographique et les évolutions en fonction des années. Jusqu’à présent, tout était géré par des tableurs. Nous utilisons encore beaucoup de tableaux, mais nous avons également déployé des cartographies et des graphiques. Ainsi, les directions métiers disposent d’éléments concrets pour les accompagner dans leur prise de décisions.
Nous utilisons également DigDash pour répertorier les étudiants étrangers en France et cartographier la répartition. Cela nous permet de déterminer l’attractivité des campus, des cursus, des établissements… et cela contribue à mesurer l’attractivité de la France à l’étranger.
Enfin, nous utilisons cet outil au sein de la DSI pour notre budgétisation. Nous suivons ainsi les dépenses, les projets en cours et à venir, le budget restant… Cela nous permet de mieux piloter notre budget.
Au total, nous comptons plus de cinquante utilisateurs de DigDash sur les différents projets. »
Critères clés de choix : éditeur français, technologie web, ergonomie, Cloud & On-Premise, réactivité et référencement UGAP
« Jusqu’à présent, nous disposions d’un outil de « Business Intelligence » onéreux qui n’était plus à jour. De plus, la Direction Interministérielle des Systèmes d’Information et de Communication (DINSIC) encourage les ministères à s’équiper d’outils en code source ouvert (« Open source »). Afin de disposer de logiciels adaptés à notre activité, nous avons donc décidé de nous lancer dans le choix d’une nouvelle solution de « BI ».
Un outil de visualisation de données « Made in France »
Nous avons sélectionné la version communautaire de Pentaho, solution d’informatique décisionnelle Open source. Cette version communautaire ne présentait pas de fonctionnalité avancée sur la visualisation des données interactive et intuitive. Pour cette fonctionnalité, après avoir recherché en vain un outil Open source, nous avons finalement choisi
DigDash car c’est un éditeur français et qu’il répondait à nos besoins. Le véritable atout de DigDash est qu’il permet de créer des tableaux dynamiques et qu’il est très simple d’utilisation. Ainsi, les différentes directions métiers peuvent y accéder simplement et créer leurs propres restitutions. La solution est accessible partout du moment qu’on a un accès à notre Intranet. Nos utilisateurs peuvent y recourir même pendant leurs déplacements, en France ou à l’étranger.
Une équipe de proximité
Un autre point important pour nous : la taille de l’entreprise. DigDash est une PME, ce qui nous permet de bien connaître notre interlocuteur et d’entretenir un lien de proximité avec notre partenaire. De plus, la solution est référencée par la centrale d’achat public UGAP, ce qui a été déterminant lors de notre choix. »
L’occasion de revoir les processus et les méthodes de travail des métiers
« Le déploiement de DigDash a été très rapide et très simple. Nous avons pu l’installer nous-même en peu de temps. Le changement d’outil entraîne un changement d’organisation. Les métiers doivent donc acquérir de nouvelles méthodes de travail et un accompagnement est nécessaire. Pour cela, nous organisons des formations pour présenter l’outil et ses fonctionnalités. Jusqu’ici, nos collaborateurs ont très bien réagi.
Globalement, les utilisateurs trouvent l’outil plus simple que ce dont nous disposions auparavant. Cela nous permet également de remplacer Excel et d’obtenir une meilleure visualisation de tous les indicateurs. À chaque formation sur la solution, nous obtenons des retours très positifs de la part de nos collaborateurs.
Idéalement, nous aimerions étendre l’outil à d’autres directions métiers, mais cela demande du temps. »